Ne pas mettre en péril le chantier en cours, voilà ce que demandent des collectivités à l'Etat, jeudi 31 juillet, alors que ce dernier pourrait se désengager financièrement. Pour les élus d'Occitanie et de Nouvele-Aquitaine, la LGV n'est plus seulement un dossier. Ce chantier tant attendu a commencé depuis 18 mois.